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Album

Impressions nocturnes

“ Impressions nocturnes“

The night has long been a source of artistic creativity. This recording, anchored on this theme, favours the discovery of an important Work by Georges Migot, and allows us to highlight a facet of his compositions where polyphony dominates and is governed by the art of colour and the finesse of nuance.
Works by Chopin, Debussy, Fauré, Auric, Migot, Werner.

Recorded at the Klangscheune (Lottstetten-Nack – Germany) in February 2022

Recording Engineer: Jan Zacek

Editing: Richard Jackman

YAMAHA CFX Piano

Text: Patricia Pagny

Photographs: Paola Lepori

 

Review here & here

« Définition de l’Effervescence »

« Définition de l’Effervescence » 2020

Works by Scarlatti  Bach  Mozart  Beethoven  Chopin  Clara Schumann   Jean-Jacques Werner

With the cooperation of YAMAHA MUSIC EUROPE GmbH, and The KLANGSCHEUNE – Lottstetten/Germany

 Recorded June 21/22 2020  at the Klangscheune Lottstetten-Nack/Germany 

www.klangscheune-nack.de

Recording Engineer: Jan Žá?ek   Editing: Richard M. Jackman

YAMAHA CFX Concert Piano

Label : Tasti’Era-Projects

 

Press review

Le titre de cet enregistrement laisse apparaître le D (correspondant au « ré », en suivant la notation allemande) et le F (« fa »), pour en extraire une sélection d‘œuvres assorties aux tonalités de fa majeur et ré mineur. Des pièces virtuoses de jeunesse, comme la Toccata en ré mineur BWV 913 de Bach, les deux sonates de Scarlatti K 64 et K 85, l’étude de Chopin en fa majeur op. 10 n°8, éclatantes et débordantes de vitalité, alternent avec des œuvres de maturité, notamment la sonate en ré mineur op. 31 n°2 de Beethoven et les imposantes Romances op. 21 de Clara Schumann. Mais le but principal de cet album, enrichi de la sonate en fa majeur K 332 de Mozart et des Chansons-Rêves de Jean-Jacques Werner, est avant tout de rappeler l’immensité du répertoire pour piano et d’explorer, dans les méandres de la tonalité, de nouvelles associations de teintes propres aux modes qui régissent l’univers musical à travers les siècles.

Cet enregistrement a vu le jour en 2020 dans les conditions difficiles du confinement, avec le souhait d’accompagner les mélomanes vers une fin d’année plus joyeuse, plus passionnante et plus optimiste. Il est dédié au compositeur, chef d’orchestre et pédagogue Jean-Jacques Werner qui a aidé Patricia Pagny dès son début de carrière en 1984.

Texte de présentation de Fabienne Mittaz

Traduction française Nadia Coquoz

Der Titel dieser CD lässt das D und das F hervortreten in Bezug auf die Auswahl der Werke in den Tonarten d-Moll und F-Dur. Die virtuosen Jugendwerke wie die Toccata in d-Moll BWV 913 von Bach, die beiden Sonaten K 64 und K 85 von Scarlatti, die Etüde in F-Dur Op. 10 Nr. 8 von Chopin, strahlend und blühend vor Lebenskraft, stehen den Werken der Reife gegenüber wie der Sonate in d-Moll Op. 31 Nr. 2 von Beethoven und den grossartigen Romanzen Op. 21 von Clara Schumann. Doch das Hauptziel dieses Albums, welches durch die Sonate in F-Dur KV 332 von Mozart sowie die Chansons-Rêves von Jean-Jacques Werner bereichert wird, ist vor allem, sich an die immense Vielfalt des Repertoires für Klavier zu erinnern und im Bereich der Tonalität neue Assoziationen von Farbtönen zu erforschen, die den Moden entsprechen, die das musikalische Universum im Laufe der Jahrhunderte geprägt hat.

Unter den schweren Bedingungen des Lockdowns entstand diese Einspielung in 2020 mit dem Wunsch, die Musikliebhaber zu einem glücklicheren, lebendigeren und optimistischeren Jahresende zu begleiten.

Diese Aufnahme ist dem Komponisten, Dirigenten und Pädagogen Jean-Jacques Werner gewidmet, der Patricia Pagny seit ihrem Debüt 1984 unterstützte.

Text im Booklet von Fabienne Mittaz

Französische Übersetzung Nadia Coquoz

LUDWIG VAN BEETHOVEN – Piano sonatas op 13, 28, 57

PRESS REVIEW

 

Live in concert – with the cooperation of YAMAHA

 

“Le piano dans la plus pure et noble tradition. Il est aujourd’hui courageux pour un pianiste-interprète de revisiter les pages du grand répertoire pianistique tant les versions des plus grands maîtres abondent chez les disquaires. Tel est le défi pourtant que relève Patricia Pagny, en gravant trois des plus grandes sonates de Beethoven. C’est avec un succès incontestable que Patricia Pagny assume ce projet musical qu’elle défend avec brio. Elle parvient à susciter un nouvel intérêt pour ces œuvres. Sa lecture extrêmement intelligente et inspirée du texte révèle l’affinité et la connivence particulière qui la lient au maître viennois. Elle a le don de savoir extraire l’idée musicale de la partition et de rendre celle-ci parfaitement limpide pour l’auditeur grâce à son jeu pianistique qui recèle une magnifique palette de couleurs. Sa technique pianistique -qu’elle doit en partie à l’école de Vincenzo Scaramuzza, dont elle est l’une des plus éminentes légataires- lui confère des possibilités d’expression musicale sans limite. Le dernier mouvement de l’Appassionata en atteste avec éloquence, tant elle maîtrise la progression du crescendo final. On notera également la lisibilité très nette de la forme sonate qui transparaît au fil de cette interprétation: les thèmes principaux sont énoncés avec un nouvel éclairage qui permet de relancer l’intérêt auprès de l’auditeur. Par ailleurs, le sens de la respiration spécialement sensible chez Patricia Pagny donne cette sensation de lecture particulièrement vivante et aérée. En un mot, Patricia Pagny possède tout ce dont rêvent beaucoup de pianistes. Elle le doit sans aucun doute à son authenticité et à sa sincérité. Ce splendide CD est en vente dès maintenant !”

R.O. Infograff

 

“Una esecuzione pianistica è difficilmente riconducibile a una formula sola ma rappresenta un tessuto assai fitto nel quale si intrecciano una molteplicità di rapporti, intenzioni, intuizioni. Che cosa colpisce particolarmente nelle esecuzioni di Patricia Pagny ? L’equilibrio tra istinto e coscienza interpretativa, la capacità, o direi meglio il dono di rigenerare qualsiasi musica restituendo all’ascoltatore la sensazione che essa sia stata appena composta e si riveli a lui per la prima volta, anche quando si tratta di pezzi conosciutissimi. Ogni suo concerto è un’esperienza sommamente gratificante,sia per il neofita che per il musicista più navigato ; e i suoi dischi sono quanto di meglio la discografia possa offrire. Ciascuno, sempre, potrà trarre giovamento dall’incontro con questa grande artista.”

MB – Il Quotidiano di Varallo

 

“Ce magnifique enregistrement renoue avec les principes de l’humanisme, empreint de liberté, de cohérence, d’ouverture et redécouvre en profondeur le caractère beethovénien. La générosité du « bel canto » au travers du piano de Patricia Pagny, l’ampleur de sa sonorité restituée de façon optimale grâce au tout nouveau grand queue Yamaha, et l’atmosphère du concert « live » à l’irréprochable qualité de prise de son, font de ce CD un témoignage exemplaire dans le panorama du disque. Un véritable bijou !”

JM – Les Affiches franco-allemandes

“Diese herrliche Aufnahme belebt aufs Neue unsere Verbindung mit den Prinzipien des Humanismus, die geprägt sind durch Freiheit, Zusammenhalt und Aufbruch und führt dadurch zu einem Wiederentdecken des Beethoven’schen Charakters. Mit der Klangfülle ihres Instruments, dem neuesten Yamaha-Konzertflügel, entfaltet Patricia Pagny ein großartiges bel canto . Zusammen mit der Live-Atmosphäre und der untadeligen Aufnahmequalität wird diese CD zu einem exemplarischen Bekenntnis auf Schallplatte. Ein wahrer Schatz! ”

JM – Les Affiches franco-allemandes

CLARA & ROBERT SCHUMANN – Concertos Konzertsatz

PRESS REVIEW

Orchestra della Svizzera italiana , Conducted by Claude Villaret
with the cooperation of YAMAHA, Corp.

“La pianiste continue de sillonner le monde, allant aussi bien au Japon qu’en Amérique du Sud pour des récitals et classes de maître. La musique classique est la base de son travail, mais Patricia Pagny a également un fort penchant pour la musique romantique de Schumann en particulier. Un des disques jumelle sur une même galette des concertos de Clara et de Robert Schumann, gravés avec l’orchestre de la Suisse italienne sous la direction de Claude Villaret. Les musiciens de Lugano et la soliste font bonne équipe pour donner une image juste du célèbre op.54 en la mineur de Robert Schumann, donnant toute sa place à l’énergie des traits tout comme au lyrisme des thèmes expressifs
L’influence réciproque des Schumann 
Mais pour beaucoup, la nouveauté du disque réside dans la réunion du concerto en la mineur du mari et le concerto opus 7, dans la même tonalité, de son épouse Clara ainsi que du Konzertstück en fa mineur de la pianiste brillante interprète des œuvres de Robert qu’elle fut. On sait moins que Clara s’exerça tôt à la composition. On retrouve dans son concerto une indéniable parenté d’écriture des deux membres du couple. Difficile de démêler exactement l’influence réciproque de l’un des époux sur l’autre, sinon à relever l’exceptionnelle symbiose du couple dans la vie et dans le travail artistique (Label Novalis)”

Marc Munch- Dernières Nouvelles d’Alsace

 

“Patricia Pagny’s profound understanding and masterful command of the music by Robert and Clara Schumann, including frequent performances of their piano concertos, forms one of the pillars of her artistic repertoire.It was thus only natural to make the decision to capture her telling interpretations in a recording with a conductor and ensemble of similar stature.The inclusion of Clara Schumann’s Konzertsatz on this recording adds an additional point of interest to the project and provides a unique perspective for understanding the musical heritage of this legendary artistic couple.”

E-Mag – Judith Erwin

 

“Die spannende Einbeziehung des unbekannten Konzertsatzes von Clara Schumann verleiht diesem Projekt zusätzlich besonderen Reiz und erlaubt es, noch tiefer in den Geist einzudringen, der dieses außergewöhnliche Künstlerpaar beseelte.”

In-akustik.com

 

“Patricia Pagny torna oggi sulla scena discografica con un interessante CD della svizzera Novalis dedicato alla coppia esemplare, quella di Robert e Clara Schumann, occasione preziosa per cogliere il senso più autentico del confronto musicale attraverso una proposta pianistica di assoluto prestigio qual’è quella della Pagny che di Clara esegue il Concerto per pianoforte e un meno conosciuto “Konzertsatz” e parallelamente il Concerto in la minore di Robert… Pagine pervase da una freschezza e da una nitidezza di visione come quella che si scorge nel Concerto, di una scrittura virtuosistica che rispecchia l’abilità eccezionale della giovane Clara, e pure nel più tardo e più riflessivo “Konzertsatz”, omaggio a Robert per il suo trentasettesimo compleanno, pervaso da chiari fantasmi chopiniani, nel culto di una forma che si snoda sempre alla luce del sole. Due pagine ammirevoli per chiarezza e piacevolezza che si aprono lungo percorsi affatto lontani dal più complesso paesaggio schumanniano. Basterebbe l’ascolto con il Concerto in la minore di cui la Pagny offre una interpretazione nitidamente appassionata, ben integrata con la visione di Claude Villaret a capo dell’Orchestra della Svizzera Italiana.”

GPM – LA GAZZETTA DI PARMA

SCARLATTI, SCHUBERT, CHOPIN, GRIEG, DEBUSSY, BOULANGER, GINASTERA – AbonDance

PRESS REVIEW

 

AbonDance with the cooperation of YAMAHA MUSIC EUROPE, GmbH. 

L’association “48h contre le cancer” organise des manifestations et des concerts afin d’inscrire la lutte contre ce fléau dans un véritable élan vers la vie. Elle a pour objectif d’aider les personnes touchées par la maladie ainsi que leurs proches. Le CD de la pianiste Patricia Pagny montre que la musique peut soutenir une telle initiative. Une partie des fonds obtenus grâce à la vente de cet enregistrement sera reversée à différentes associations de lutte contre le cancer. 

 

Œuvres de Domenico Scarlatti, Ludwig van Beethoven, Franz Schubert, Frédéric Chopin, Claude Debussy, Lili Boulanger, Alberto Ginastera.

ROBERT SCHUMANN – Carnaval Op.9, Four Pieces Op.32, Fantasy Op.17 version 1836

PRESS REVIEW

 

live in concert – with the cooperation of YAMAHA, Corp. and AIRFRANCE

« Comblés par ce nouveau CD Schumann, nous avons admiré le Carnaval par Patricia Pagny, laissant se déployer avec naturel toutes les facettes de l’écriture pianistique du compositeur, son humour, ce mélange d’énergie virile et de fantaisie poétique, ce tumulte fantastique et parfois vertigineux. Nous avons apprécié, entre autres, la séduisante variété des timbres dans « Pierrot » et l’époustouflante précision de la main gauche dans « Reconnaissance ». 
Dans la Fantaisie Op.17, en partant d’un strict respect du texte, la pianiste arrive, par delà les changements de tempo, les fragmentations et les silences, à créer une émotion bouleversante puis, après une marche triomphale – bravo pour la Coda ! , à transmettre un chant d’amour proche de l’extase.
Ce disque est plein de bons moments qui inaugurent quasiment l’année Schumann à venir. »

J.J.S. – Les Affiches franco-allemandes

 

« … l’interprete entra nello spirito della scrittura, intercettandone l’originalità ma soprattutto facendo di essa una ragione poetica. Tale è il senso che va snodandosi nel « Carnaval » attraverso il susseguirsi delle varie immagini, maschere e reminiscenze che Schumann evoca con un preciso carattere musicale che la Pagny ricrea sulla tastiera con nitidezza penetrante, nella trasparenza con cui rivive l’inquieto tessuto polifonico come pure nella coerenza ritmica che imprime una più segreta unitarietà a questa visionaria avventura sentimentale. Un senso di organicità indispensabile per assicurare il giusto fiato narrativo all’ampia « Fantasia » in do maggiore , cosa che la nostra interprete mostra di possedere, prolungando l’afflato del grande slancio iniziale, sognante sguardo verso l’infinito, attraverso l’articolazione di una forma che va definendosi sul filo di sorprendenti contrasti, proprio come un fantastico racconto intimo che la Pagny va delibando con ben evidente controllo, nella sfida temibilissima della coda della seconda parte, per giungere alla trasfigurazione dell’ultima, commiato commovente in cui Schumann fa riaffiorare il ricordo beethoveniano da « An die ferne Geliebte » . La Pagny sceglie per questa chiusa la prima versione concepita da Schumann in simmetria con quella della prima parte, e anche questa è un’occasione rara per il confronto con la soluzione definitiva seguita da gran parte degli interpreti. Come pure è prezioso l’inserimento nel programma – una registrazione dal vivo effettuata a Tokyo – dei quattro brani dell’op.32, di rarissimo ascolto, e assai significativi proprio nel modo con cui il compositore rivive forme consolidate quali la Giga, lo Scherzo e la Fuga, trasfigurandone il profilo attraverso la lente della sua fervida quanto sempre lucidissima immaginazione. »

GAZZETTA DI PARMA

 

« Un enregistrement réalisé en concert sur un grand Yamaha, mais plus importante encore est la portée poétique de l’interprétation manifeste dans ses versions, ici, du Carnaval op.9 et la Fantaisie op.17 de Schumann, auxquels s’ajoutent les quatre mouvements de l’opus 32. La sensibilité de Patricia Pagny est toujours aiguisée face à cet univers mental des masques, mais elle fait preuve aussi d’une profonde élégance dans chacune des danses et pièces, et son art ne laisse jamais retomber l’intérêt, dans l’enchaînement des mouvements comme dans la gestion musicale des contrastes. Cela fait du très beau Schumann, longuement médité, d’une énorme richesse, et captivant. »

Marc Munch – DNA

JOHANNES BRAHMS – the complete works for piano and cello

PRESS REVIEW

 

Live in concert – with the cooperation of YAMAHA

« … Les interprètes abordent ce répertoire de façon très vivante, alliant à la fois précision et infinie poésie, intensité des sentiments et maîtrise expressive des timbres. En évitant le « pathos », ils nous dévoilent un Brahms plus intime, cet homme entre deux mondes, conscient de la précarité de toute réalisation humaine mais aspirant à la sérénité. Dans cette optique, l’écoute de cet enregistrement nous communique un sentiment de plénitude et nous repose des interprétations parfois exagérément surchargées. »

A.D. – Les Affiches franco-allemandes

 

« … die Interpreten gehen an dieses Repertoire in einer sehr lebendigen Weise heran und verbinden Präzision mit unendlicher Poesie, intensivem Gefühl und meisterhaftem Klangausdruck. Falsches Pathos vermeidend enthüllen sie uns einen intimeren Brahms, jenen Mann zwischen zwei Welten, der sich der Ungewissheit jeglicher menschlichen Daseinsform bewusst war und dennoch nach Heiterkeit strebte. In dieser Sichtweise vermittelt uns diese Aufnahme ein Gefühl der Fülle und Ruhe, im Gegensatz zu manchmal übertriebenen und überladenen Interpretationen. »

A.D. – Les Affiches franco-allemandes

WOLFGANG AMADÉ MOZART – Piano sonatas variations rondos

PRESS REVIEW

 

Live in concert – with the cooperation of YAMAHA

“Patricia Pagny gehört zu den Künstlern, die mit aussergewöhnlicher, intuitiv-geistig-spiritueller Kraft der Musik Mozarts auf die Spur kommt, die uns Menschen mit dem Menschen Mozart verbindet. Bei Interpretationen wie die Sonate in F-Dur KV533, Sonate in a-moll KV310 oder “Alla Turca” aus der Sonate A-Dur KV331, zeigt sich schnell, “welch’ Geistes Kind” am Werk ist, um Musik dem Hörenden fasslich werden zu lassen. Patricia Pagny gehört als Künstlerpersönlichkeit zu den Auserwählten”

In-Akustik

“Una sintesi del pianismo mozartiano osservato nel duplice aspetto dell’invenzione costruttiva e del virtuosismo che non sempre vengono colti dagli interpreti… la Pagny, la cui maturità pianistica è andata affinandosi sempre più in rapporto alla ricerca di un suono la cui trasparenza riflettesse il trascolorare dell’emozione senza mai sovraccaricarne la pressione, inanella con un suono luminoso variazione dopo variazione gestendo sapientemente il gusto della sorpresa, e produce un suono ricco di quella sensibilità timbrica particolare della Sonata in la minore.”

gpm – GAZZETTA DI PARMA

LUDWIG VAN BEETHOVEN – Complete works for Piano and Cello Discs 1 & 2

PRESS REVIEW

 

“Cinq sonates , trois séries de Variations sur des thèmes de Mozart et Haendel : tel est l’apport – génial ! – de Beethoven au duo piano-violoncelle. Ecouté attentivement et, mieux encore, partitions en mains, le récent enregistrement de Patricia Pagny et Alexander Hülshoff révèle une complicité qui permet à chaque partenaire d’anticiper sur des intentions de l’autre et rend le discours particulièrement éloquent. Souvent extraverti (op.5 n.1), nerveux et spirituel (Scherzo de l’op.69), celui-ci peut aussi verser, grâce à la palette expressive des interprètes, dans la délicatesse (pianissimi presque « impalpables » à la fin des Variations op.66 sur « la Flûte Enchantée »). Splendide version, donc, à laquelle Patricia Pagny ajoute, au piano seul, un récital Mozart non moins convaincant… Lequel permet de retrouver les délicieuses variations « Ah, vous dirai-je maman » K265, les sonates K533, 280, 310 et le célébrissime Rondo « Alla Turca » de la sonate K331”

Jean Dupart – Arts et Métiers

 

“On retrouve chez les deux partenaires le même phrasé, des intentions identiques. Cette belle unité, un engagement sans faille, un jeu vivifiant de pureté et de jeunesse, il y a de quoi prendre bien du plaisir et ne jamais s’ennuyer.”

I.J. – Arts21 News

 

“Diese Aufnahme bietet Kammermusik im besten Sinne: das bedeutet, dass hier zwei Musiker miteinander korrespondieren, ohne die solistische Attitüde hervorzukehren. Hülshoff ist ein Cellist, dessen Noblesse und Eleganz unverkennbar ist, der dabei aber sehr genau nach Charaktertiefe sucht, die nicht immer nur „schön“ sein muss … Und die vitale Pianistin Patricia Pagny versteht sich nicht nur als Begleiterin, sondern gibt feine Impulse. Es heisst ja „für Klavier und Cello“ und nicht umgekehrt. Diese Aufnahme ist etwas für Feinhörer und besticht gerade auch durch ihre musikantische Impulsivität.”

Ste. – WAZ

 

“…un style bien posé, un dialo­gue harmonieux des deux instruments en font une très attachante référence. ”

Dernières Nouvelles d’Alsace

 

« molto integrata appare l’intesa tra i due interpreti, nell’autorevolezza con cui la Pagny sostiene il tessuto pianistico in tutta la varietà di atteggiamenti che vanno muovendosi attraverso il complesso, trascolorante percorso stilistico.. Una pronuncia ricca, mai generica quella della Pagny che ben si compenetra con i modi affettuosi di Hülshoff il cui gioco sensibile offre una partecipazione altrettanto viva a quella dialettica cosi ricca di penombre… Bella e coinvolgente testimonianza »

gpm – GAZZETTA DI PARMA

FELIX MENDELSSOHN – Songs without Words op.19, 30, 62, 67

PRESS REVIEW

 

“La Pagny coglie la varietà di atteggiamenti che il compositore affida a queste pagine brevi ricreandole con accattivante freschezza, senza alcuna concessione ad insidiosi sdilinquimenti ma con quella naturalezza d’eloquio che trae linfe da profondo della classicità, terreno che la pianista, da esemplare mozartiana qual’è, esplora con la consapevolezza delle tante virtualità in esse racchiuse, fino alla più trepida visione romantica.”

LA GAZZETTA DI PARMA

 

« Sans maniérisme aucun, elle fait preuve d’un sens constant de l’inflexion juste, qui relève, sans la souligner, l’expression de chacune de ces courtes pièces, évitant ainsi toute uniformité de ton. Les lignes mélodiques au contour net prennent subtilement appui sur l’accom­pagnement le plus souvent très régulier de la main gauche, marqué d’une articulation précise mais sans rigidité. Patricia Pagny affirme aujourd’hui toute l’aisance et la richesse de son tempérament et de son imagination musicale dans ce dé­licat parcours que Mendelssohn à si­tué à la lisière de deux mondes, celui du respect classique de la forme et celui de la traduction romantique des expressions. Ce très heureux mi-par­cours intégral des Romances sans paroles proposé par Patricia Pagny se place ainsi assez au-delà de l’interprétation d’Ester Budiardjo des Opus 30 et 62, à l’expression générale certes plus allante, mais sans doute plus lisse et moins caractérisée, et soutient tout à fait la comparaison avec les inter­prétations de la totalité du corpus – autant celle de Daniel Barenboïm, brillante mais finalement souvent exté­rieure, que celle de la pianiste hongroise Livia Rev, tout en naturel et finesse. »

CLASSICA REPERTOIRE

 

ARTE-TV BestOf2007 – ARTE a sélectionné les 5 meilleurs enregistrements de l’année

Une musique chaleureuse et vivante, une interprétation hors norme, voilà ce qu’il vous faut pour bercer vos longues soirées d’hiver. Les Romances sans paroles, jouées par Patricia Pagny, vous apportent un concentré de romantisme. On n’en demandait pas tant ! Il faut vraiment écouter ce disque pour réaliser à quel point la présence de l’artiste compte pour donner à ce cycle un supplément d’âme et de sens. Patricia Pagny, imprime ici sa marque et sa seule présence suffit à faire de ces Romances sans paroles de purs moments d’émotion : ce n’est plus seulement de la musique, c’est une voix, un visage, un sourire…

Mathias Heizmann

 

Patricia Pagny est l’une des musiciennes les plus attachantes de sa génération. Son dernier disque consacré à Mendelssohn est un modèle de charme et de tendresse. Les amateurs de piano ont pris l’habitude, depuis quelques années déjà, d’adapter leurs oreilles à un certain standard de jeu. Nos grands parents cherchaient des individus, des êtres de chair au visage familier : on aimait Samson François, Claudio Arrau, Dinu Lipati pour ce qu’ils représentaient et pour ce qu’ils nous signifiaient d’eux-mêmes. On cherche aujourd’hui des interprètes pour mieux servir les œuvres, c’est-à-dire des passeurs. La question des pianistes (et par la même occasion celle des auditeurs et des critiques) est devenue majoritairement celle du style.
Certes, les choses ne sont pas si tranchées : il y a, comme partout, des formes de résistance et des musiciens cherchent à échapper au courant dominant. Patricia Pagny en fait partie et si l’on s’arrête aujourd’hui sur son nouvel opus, c’est précisément pour cela.
Patricia Pagny a produit deux disques ces derniers temps : un Beethoven en compagnie du violoncelliste Alexander Hülshoff et cet album Mendelssohn dont le titre, à lui seul, méritait un article complet.

Les Romances sans paroles, tout le monde les connaît. Musique intimiste, parfois répétitive, ce cycle a fait de ses vertus faiblesse : écoutées bout à bout, on finit presque par se lasser. Mais lorsque Patricia Pagny met en scène ces miniatures, elles acquièrent aussitôt une identité particulière et une puissance suggestive tout à fait inattendue.
Je ne sais pas à quoi cela tient vraiment. Aux infimes décalages entre les voix de la polyphonie ? Au sentiment d’improvisation, de surprise ? Ou bien encore aux couleurs infiniment variées qui donnent aux lignes mélodiques un relief saisissant ? Peut-être tout cela joue-t-il, mais je crois en réalité que ces éléments perceptibles sont le résultat d’une approche singulière de la musique et non la base d’une alchimie qui transformerait le plomb en or, un simple cheminement harmonique en Contes des Mille et une Nuits.
Il faut vraiment écouter ce cycle (incomplet d’ailleurs, mais qu’importe) pour réaliser à quel point la présence de l’artiste compte dans ce récit étrange, certes sans parole mais non sans pensées. Ce n’est plus seulement de la musique, c’est une voix, un visage, un sourire. Et dans l’air du soir, alors que tout cela chante si bien (et dieu sait à quel point, au piano, l’art du chant est une chose difficile !), c’est étrangement ce visage inconnu et ce sourire qui s’imposent, nous touchent et nous donnent envie de tout réécouter…

Mathias Heizmann

 

ARTE TV : Best of 2007 – aus den 5 besten Klassik-Alben des Jahres 2007 !!!

“Eine lebendige Musik, hervorragend interpretiert von Patricia Pagny – Mendelssohns Lieder ohne Worte sind Romantik für lange Winterabende. Wer dieser Einspielung aufmerksam lauscht, wird feststellen, wie wichtig die Ausdruckskraft des Interpreten ist, um diesen Zyklus mit dem ganz besonderen Quäntchen Seele und Sinn zu bereichern. Patricia Pagny gelingt dies hervorragend. Ihr Stil, ja ihre Präsenz allein machen die Lieder ohne Worte zu bewegenden Momenten.”

Mathias Heizmann – ARTE TV

 

“Patricia Pagny gehört zu den interessantesten Musikerinnen ihrer Generation. Ihre neue Mendelssohn-Einspielung ist voller Charme und Zärtlichkeit. Liebhaber von Klaviermusik richten ihre Hörgewohnheiten seit Jahren nach einem bestimmten Interpretationsstandard. Unsere Großeltern suchten nach Individualisten, nach Menschen mit bekanntem Gesicht. Man mochte Samson François, Claudio Arrau oder Dinu Lipati für das, was sie darstellten und von sich selbst preisgaben. Heute sind Interpreten gefragt, die vor allem den Werken gerecht werden, Vermittler sozusagen. Bei Pianisten stehen sowohl für die Zuhörer als auch für die Kritiker derzeit vor allem Stilfragen im Vordergrund.
Natürlich ist die Sachlage so eindeutig nicht: Wie überall gibt es auch unter Musikern Widerstand und Versuche, sich vom Mainstream zu distanzieren. Patricia Pagny gehört zu jenen Künstlern, und genau deshalb soll es hier um ihre neue Veröffentlichung gehen.
In letzter Zeit hat Patricia Pagny zwei CDs eingespielt: gemeinsam mit dem Cellisten Alexander Hülshoff eine Aufnahme mit Werken von Beethoven sowie das Mendelssohn-Album, über dessen Titel allein ein ganzer Artikel geschrieben werden könnte.
Jeder kennt die Lieder ohne Worte. Der Zyklus aus introvertierten, gelegentlich eintönig wirkenden Stücken ist nicht frei von Schwächen: Hört man sie hintereinander, könnte man ihrer fast überdrüssig werden. Doch wenn Patricia Pagny diese Miniaturen inszeniert, erhalten sie sogleich eine besondere Identität und entfalten eine unerwartet starke suggestive Kraft.
Ich weiß nicht, woran das genau liegt. An den winzigen Verschiebungen der polyphonen Stimmen? Am improvisatorischen, überraschenden Charakter der Interpretation? Oder an den zahllosen Klangfarben, die der melodischen Linie ein erstaunliches Relief verleihen? Vielleicht ist es all das, aber ich denke, diese wahrnehmbaren Aspekte sind vor allem das Ergebnis eines einzigartigen Zugangs zur Musik und keineswegs so etwas wie die alchemistische Verwandlung von Blei zu Gold oder von einer einfachen harmonischen Wendung zu einer Erzählung aus Tausendundeiner Nacht.
Man muss diesen zwar unvollständigen, aber nicht minder wertvollen Zyklus wirklich anhören, um die Präsenz der Künstlerin in dieser merkwürdigen Erzählung, die zwar ohne Worte, nicht aber ohne Gedanken auskommt, voll zu erfassen. Hier handelt es sich nicht mehr nur um Musik, sondern um eine Stimme, ein Gesicht, ein Lächeln. Und in der Abendstimmung, inmitten dieses schönen Gesangs (und es ist weiß Gott nicht leicht, auf dem Klavier gesanglich zu spielen!) berührt einen eben jenes unbekannte Gesicht, jenes Lächeln so sehr, dass man Lust bekommt, alles noch einmal von vorn anzuhören.”

ARTE TV – Mathias Heizmann

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