PRESS REVIEW
“Cinq sonates , trois séries de Variations sur des thèmes de Mozart et Haendel : tel est l’apport – génial ! – de Beethoven au duo piano-violoncelle. Ecouté attentivement et, mieux encore, partitions en mains, le récent enregistrement de Patricia Pagny et Alexander Hülshoff révèle une complicité qui permet à chaque partenaire d’anticiper sur des intentions de l’autre et rend le discours particulièrement éloquent. Souvent extraverti (op.5 n.1), nerveux et spirituel (Scherzo de l’op.69), celui-ci peut aussi verser, grâce à la palette expressive des interprètes, dans la délicatesse (pianissimi presque « impalpables » à la fin des Variations op.66 sur « la Flûte Enchantée »). Splendide version, donc, à laquelle Patricia Pagny ajoute, au piano seul, un récital Mozart non moins convaincant… Lequel permet de retrouver les délicieuses variations « Ah, vous dirai-je maman » K265, les sonates K533, 280, 310 et le célébrissime Rondo « Alla Turca » de la sonate K331”
Jean Dupart – Arts et Métiers
“On retrouve chez les deux partenaires le même phrasé, des intentions identiques. Cette belle unité, un engagement sans faille, un jeu vivifiant de pureté et de jeunesse, il y a de quoi prendre bien du plaisir et ne jamais s’ennuyer.”
I.J. – Arts21 News
“Diese Aufnahme bietet Kammermusik im besten Sinne: das bedeutet, dass hier zwei Musiker miteinander korrespondieren, ohne die solistische Attitüde hervorzukehren. Hülshoff ist ein Cellist, dessen Noblesse und Eleganz unverkennbar ist, der dabei aber sehr genau nach Charaktertiefe sucht, die nicht immer nur „schön“ sein muss … Und die vitale Pianistin Patricia Pagny versteht sich nicht nur als Begleiterin, sondern gibt feine Impulse. Es heisst ja „für Klavier und Cello“ und nicht umgekehrt. Diese Aufnahme ist etwas für Feinhörer und besticht gerade auch durch ihre musikantische Impulsivität.”
Ste. – WAZ
“…un style bien posé, un dialogue harmonieux des deux instruments en font une très attachante référence. ”
Dernières Nouvelles d’Alsace
« molto integrata appare l’intesa tra i due interpreti, nell’autorevolezza con cui la Pagny sostiene il tessuto pianistico in tutta la varietà di atteggiamenti che vanno muovendosi attraverso il complesso, trascolorante percorso stilistico.. Una pronuncia ricca, mai generica quella della Pagny che ben si compenetra con i modi affettuosi di Hülshoff il cui gioco sensibile offre una partecipazione altrettanto viva a quella dialettica cosi ricca di penombre… Bella e coinvolgente testimonianza »
gpm – GAZZETTA DI PARMA